Des substances accusées de perturber l'organisme
Présents dans de nombreux produits du quotidien, dont les cosmétiques, les perturbateurs endocriniens sont des substances naturelles ou artificielles qui présentent une ressemblance avec les hormones - dont ils sont proches dans leur structure. Ils sont accusés d’interférer avec l’organisme en bloquant ou occultant les récepteurs du corps qui sont prévus pour les vraies hormones. Les hormones naturelles ne fonctionnent alors plus correctement.
Les perturbateurs endocriniens pourraient donc altérer les fonctions du système hormonal et causer des effets indésirables sur la santé, dont maladies et anomalies (troubles de la croissance, baisse de la fertilité, cancers, malformations génitales chez les garçons, puberté précoce chez les filles).
Un constat plutôt alarmant sachant qu’une absorption par la peau est 10 fois plus grande qu’une absorption par l’alimentation. L’exposition aux perturbateurs endocriniens chez les jeunes enfants est d’ailleurs mesurable : des traces de dizaines de produits toxiques ont ainsi été retrouvées dans les cheveux d’un panel d’enfants de 10 à 15 ans, selon une étude publiée en 2017 par 60 millions de consommateurs.
Des révélations qui ne laissent pas indifférent : entre prise de conscience collective, crises sanitaires et souci environnemental, de nouveaux besoins apparaissent. Ceux d’une cosmétique « nettoyée » de toute substance potentiellement nocive pour la santé et respectueuse de l’environnement.
Après avoir contribué à l'élaboration de la première Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens, la France a saisi le Haut Conseil de la Santé Publique pour donner un avis sur la deuxième Stratégie nationale à la fin de l'année 2018. L'objectif, entre autres, est de rendre plus visible la problématique des perturbateurs endocriniens. Un sujet de société qu'il convient de prendre au sérieux avec des produits qui appliquent un principe de prévention de façon à exclure ces substances à risque de leurs formules.
Présents dans de nombreux produits du quotidien, dont les cosmétiques, les perturbateurs endocriniens sont des substances naturelles ou artificielles qui présentent une ressemblance avec les hormones - dont ils sont proches dans leur structure. Ils sont accusés d’interférer avec l’organisme en bloquant ou occultant les récepteurs du corps qui sont prévus pour les vraies hormones. Les hormones naturelles ne fonctionnent alors plus correctement.
Les perturbateurs endocriniens pourraient donc altérer les fonctions du système hormonal et causer des effets indésirables sur la santé, dont maladies et anomalies (troubles de la croissance, baisse de la fertilité, cancers, malformations génitales chez les garçons, puberté précoce chez les filles).
Un constat plutôt alarmant sachant qu’une absorption par la peau est 10 fois plus grande qu’une absorption par l’alimentation. L’exposition aux perturbateurs endocriniens chez les jeunes enfants est d’ailleurs mesurable : des traces de dizaines de produits toxiques ont ainsi été retrouvées dans les cheveux d’un panel d’enfants de 10 à 15 ans, selon une étude publiée en 2017 par 60 millions de consommateurs.
Des révélations qui ne laissent pas indifférent : entre prise de conscience collective, crises sanitaires et souci environnemental, de nouveaux besoins apparaissent. Ceux d’une cosmétique « nettoyée » de toute substance potentiellement nocive pour la santé et respectueuse de l’environnement.
Après avoir contribué à l'élaboration de la première Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens, la France a saisi le Haut Conseil de la Santé Publique pour donner un avis sur la deuxième Stratégie nationale à la fin de l'année 2018. L'objectif, entre autres, est de rendre plus visible la problématique des perturbateurs endocriniens. Un sujet de société qu'il convient de prendre au sérieux avec des produits qui appliquent un principe de prévention de façon à exclure ces substances à risque de leurs formules.
